New Orleans, « The » tube de Gary U.S. Bonds, était sur mes K7. Eh oui, il ne faut pas, sous prétexte de commémorations, de réaction a des arrêts d’émissions cultes, de coup de chapeau à de nouveaux artistes, dévier trop de l’esprit premier de ce blog : un retour nostalgique sur les musiques qui ont peuplé les K7 de mes « jeunes années ». Oldies but Goldies donc, New Orleans de Gary U.S. Bonds. Je reconnais qu’en dehors de ce titre, pas grand chose d’exceptionnel chez cette icone oubliée du Rythm’n Blues. "Quarter to Three", peut-être?
Pionier en quelque sorte du name marketing, du référencement, il choisit Gary "US BOND" dans l'espoir d'une confusion de son nom avec le lancement d'une souscription de bons du trésors américain (US Bonds, voyons). New Orleans. Le titre est l’un de ces fameux morceaux où l’artiste scande des onomatopées qu’il demande au public de reprendre, façon « What I’d Say » du grand Ray Charles, ou « Minie The Moucher » du non moins grand Cab Calloway… Oui, je sais, « What I’d Say » c’est pas le public, ce sont les Raelettes qui répondent…
Hey, heyhey hey, hey…
Il reste considéré comme l’un des pioniers, de ceux qui ont contribué à l’édification des bases de ce qui deviendra le Rock’n Roll, d’où, sa place ici aujourd’hui. Il fera la première partie des Beatles en 1963.
Je me souviens que j’avais enregistré New Orleans sur la K7 où figurait Quadrophenia, la version du film, sur laquelle était rajoutée les morceaux des guests stars ajoutés au film… au point que mes souvenirs abusés ont fini par croire que ce titre figurait dans le film…
Mais c’est un autre film qui eût, plus tard, les honneurs de Gary U.S. Bond : le 2 ème opus des Blues Brothers, qui n’avait d’intérêt que parce qu’il faisait appel à ces stars oubliées…
Gary US Bonds…
I guess most of you hardly heard about this Rythm’n Blues icon. New Orleans, one of his few hits, was on my stereotapes.
In these days of commemorations of passing stars, I today choose to come back to the initial intention of this blog: telling memories of what indeed made my rock culture, my rock history, identity.
Gary US Bonds is of this kind. I had compiled a K7 with The Who’s Quadrophenia, from the LP “Movie Soundtrack”, where the guests artist’s songs were recorded. The Ronettes, Small Faces, James Brown’s Night train. To fill the K7, I added a couple of other 60’s hits, amongst which Gary US Bonds “New Orleans”.
Gary US Bonds took this odd name in an attempt to “surf” on the confusion created by a federal bank subscription (Bonds). Years before internet and marketed music, the story shows his attempt was not that succesfull: allthough quite talentuous, US Bond had a few successes, and his tracks are nowadays seldom played…
New Orleans was this kind of songs, like Ray Charles’s “What I’d Say” or CAb Calloway “Minnie the Moucher” where the chorists, or the public, is bound to answer the singer in the chorus: “I say heyheyhey heyhey”…
New Orleans was not on Quadrophenia soundtrack. But it was on Blues Brother’s 2000, poor sequel of the glorious Blues Brothers movie. “2000” lacked… many things, amongst which spirit and faith… But still is a must, by the collection of great artists called to be recorder in action.
Whatch it, and see and hear Gary US Bonds…